Contes d'après Henri POURRAT
Adaptation et interprétation - Lionel ALES
Mise en espace et direction de comédien - Marie AUBERT
Musiques traditionnelles, compositions et interprétation - Mathieu PIGNOL
Le célèbre conservateur en chef du Musée des Croyances Populaires, René Isidore Besqueut, personnage rondouillard à la faconde enthousiaste, conteur gourmand et passionné, s'empare de trois histoires merveilleuses et fantastiques tirées du "Trésor des contes" de l'écrivain Henri Pourrat.
"L'ogre et son métayer", "Les deux bossus" et "La queue du diable" sont à l'affiche.
Ces contes mémorables célèbrent l'esprit, la sagesse et les drôleries du petit peuple, celui des opprimés, celui des poches vides, celui des gens de peu et de rien qui d'un bâton, d'une marmite ou d'une chanson font les ressorts de leur salut et les clefs de leur fortune.
Le geste lyrique, à renforts de mimiques et d'autres grimaces, René Isidore mâche le verbe, claque les bons mots, prend à bras le corps ces histoires et tous les protagonistes.
Tour à tour, il raconte les sabbats de l'enfer, la ronde des lutins, esquisse en une posture l'ogre en furie, interprète taquin la jeune bergère énamourée ainsi que le bossu acariâtre, raille prestement la stupidité du valet et s'amuse des ragots du village.
René Isidore raconte… et c'est le souffle des veillées d'antan qui se lève, du concentré de théâtre bouillonnant de facéties qui se donne… sans chiqué.
http://latituds.pagesperso- orange.fr/RIR.html
C'est samedi 24 janvier, à 21h, salle Jean-Jaurès à la mairie de Langeac.
Adaptation et interprétation - Lionel ALES
Mise en espace et direction de comédien - Marie AUBERT
Musiques traditionnelles, compositions et interprétation - Mathieu PIGNOL
Le célèbre conservateur en chef du Musée des Croyances Populaires, René Isidore Besqueut, personnage rondouillard à la faconde enthousiaste, conteur gourmand et passionné, s'empare de trois histoires merveilleuses et fantastiques tirées du "Trésor des contes" de l'écrivain Henri Pourrat.
"L'ogre et son métayer", "Les deux bossus" et "La queue du diable" sont à l'affiche.
Ces contes mémorables célèbrent l'esprit, la sagesse et les drôleries du petit peuple, celui des opprimés, celui des poches vides, celui des gens de peu et de rien qui d'un bâton, d'une marmite ou d'une chanson font les ressorts de leur salut et les clefs de leur fortune.
Le geste lyrique, à renforts de mimiques et d'autres grimaces, René Isidore mâche le verbe, claque les bons mots, prend à bras le corps ces histoires et tous les protagonistes.
Tour à tour, il raconte les sabbats de l'enfer, la ronde des lutins, esquisse en une posture l'ogre en furie, interprète taquin la jeune bergère énamourée ainsi que le bossu acariâtre, raille prestement la stupidité du valet et s'amuse des ragots du village.
René Isidore raconte… et c'est le souffle des veillées d'antan qui se lève, du concentré de théâtre bouillonnant de facéties qui se donne… sans chiqué.
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